Autour de la rentrée
Dès 6 ans :
Le jour de l'Entrée
Chez les ratazazous, le premier jour de classe s'appelle le jour de l'Entrée. Comme les enfants humains, les petits ratazazous sont tout excités. Bien sûr, comme eux, ils ont aussi parfois le ventre noué.
La grande marelle
Pour prendre de la hauteur et viser le ciel, si on jouait à la marelle ? Jouer, c'est souvent un bon moyen de se faire des amis.
On disait qu' c'était...
... un oiseau aux mille ailes ♬ ♪ ♫
Il existe un oiseau qui vole simplement au secours de l'imagination et qui, dans un murmure, vous donne le goût de la lecture. Sa particularité : il a bien plus que deux ailes.
Dès 8 ans :
Quand je serai grand, je serai...
... pilote d'escampette
A quoi bon fuir les devoirs ? Ils finissent toujours par vous rattraper, ces voleurs de bon temps. En revanche, il y a parfois moyen d'y glisser, l'air de rien, un peu de fantaisie. Et alors là, à vous la belle vie !
A travers lac
Les copains-copines nous conduisent parfois à faire des bêtises, mais c'est peut-être aussi eux qui savent le mieux nous sortir du pétrin. De vrais amis, une bonne boussole... Confiance : l'aventure se passera bien.
L'octocycle
Le début d'une nouvelle étape réserve toujours quelques surprises. Il n'est pas forcément facile de devenir grand, mais les êtres les plus habiles dans cet exercice sont assurément les enfants.
Pour tous les âges, des comptines :
La cour des comptines
Je conte, nous contons, vous contez : ça compte. A l'école, on n'échange pas que des Panini et des bonbons, mais aussi des histoires...
Délace mes souliers
Qui connaît encore les chaussures à lacets ? Les lapins, pardi ! Ils sont dans toutes les comptines qui nous dévoilent les secrets du laçage. Dans celle-ci, ils nous apprennent à délacer nos souliers.
Voyagez, voyelles
Sur le chemin de l'apprentissage de la lecture, voici cinq voyageuses que l'on gagne à connaître. Prêts à monter dans le train des voyelles ?
Les cinq doigts de la main
Inséparables, solidaires, toujours en quête d'un trésor à découvrir ou d'un rêve à toucher, ils sont capables de déplacer des montagnes. Ils ne sont pourtant qu'une poignée.